GLB5R a écrit :Merci Fred
Tu peux nous en dire un peu plus sur lesz dernières photos?
Merci
les deux dernières photos de la page 1, veux tu dire ?
parce que ce qui me pose question à moi, ce sont les premières photos de la page 3: qu'est ce qu'une entreprise de BTP peut elle bien benner comme ça sur plusieurs quais ? ? ?
Ce sont les ordures ménagères et divers déchets qui étaient triés sur le site.
Il travallaient beaucoup pour les centres d'enfouissement des ordures sur Paris
Merci de ta réponse, je me posais la même question !
gérard a écrit :Jacques,
beau reportage, et je suis toujours épaté de voir la faible garde au sol de ces attelages !
ça doit pas bien passer les dos d'anes, quand même !!!!
La mille pattes se règle en hauteur en fonction des obstacles mon p'tit Gégé ! c'est au conducteur à faire attention,il a l’habitude
Exemple: si le tracteur écrase une personne,le conducteur relève le plateau de la mille pattes pour que la personne ne soit pas écrasée une deuxième fois !
Historique trouvé sur internet
Découverte archéologique sur une future carrière de sablon qui deviendra ensuite un centre de stockage de déchets ("décharge") une fois le sablon extrait. La REP, Routière de l'Est Parisien, est une société qui exploite des carrières de sablon, des centres de stockage de déchet où la géologie le permet, et des centres de tri.
La REP a eu une flotte de 6x4 Mack de près de 99 camions, facilement reconnaissables. Depuis une quinzaine d'années les 6x4 Mack ont laissé la place à des semis Scania 6x4.
La 974 est équipée d'un grand balancier et d'un poste de conduite élévateur. C'est pour charger les remorques à fond mouvant des 769 avec des déchets. Pour cette tâche, la 974 est équipée d'un grappin. Ces ensembles font la navette entre le quai de rupture et les "casiers" (appellation des endroits de la carrière préparés pour recevoir les déchets).
Aux endroits où l'on voit des camions basculés (voir photos), les déchets tombent 15 à 20 mètres plus bas où ils sont rechargés dans les 769. En centre de stockage de déchets, ces derniers sont compactés et des drains sont installés et enfouis avec, pour récupérer le gaz issu de la fermentation. Ensuite le gaz alimente des turbines pour produire de l'électricité, qui est mis sur le réseau EDF.
La découverte archéologique consiste à ouvrir des tranchées de 40 cm de profondeur afin de retrouver des traces de construction datant de 2000 ans environ. Le village proche semble s'étre déplacé au fil des siècles. Des fondations d'habitations et des silos ont été mis à jour.
Merci à Julien Bertholon pour les précisions apportées.